Les Crêtes du Mont Lozère en Gravel
Gravel entre amis
Gravel entre amis - Xavier Ligonnet
Villefort

Les Crêtes du Mont Lozère en Gravel

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Cette boucle, située entre le Mont Lozère et le lac de Villefort, commence facilement avant d'aborder une montée marquante entre le Pic Cassini et le col du Finiels. La fin du parcours, plus douce, offre de superbes panoramas sur les paysages granitiques du sommet lozérien.
Entre les pentes Nord du Mont Lozère et le lac de Villefort, vous trouverez cette boucle facile avant d’attaquer, entre les abords du Pic Cassini et le col du Finiels, une côte dont vos jambes devraient se souvenir. Heureusement les sept ou huit derniers kilomètres vous feront oublier toutes les difficultés en admirant les grands paysages granitiques des abords du sommet lozérien.

Les 27 patrimoines à découvrir

  • Histoire et Culture

    Origines de Villefort

    Au Moyen Âge, Villefort porte le nom de Villa Montisfortis, faisant peut-être référence à une ancienne exploitation agricole romaine. Le bourg est alors dominé par un château dont il ne reste plus rien aujourd'hui. Lieu stratégique de péage, ce castrum garde alors le chemin de Régordane depuis les hauteurs du Collet (sortie sud du bourg).

  • Histoire et Culture

    Chemin de Régordane

    Le chemin de Régordane, entre Alès (Gard) et Luc (Lozère), est une partie de l'importante route reliant au Moyen Age le Bas-Languedoc et l’Auvergne, facilitant alors le commerce entre la Méditerranée et une partie des terres du royaume de France. Les muletiers qui l’empruntent, appelés localement Régordans ou Rigourdiers, transportent l'huile, le vin ou le sel. Elle est également le chemin de la foi qui mène les pèlerins appelés Romieux à Saint-Gilles. Elle est délaissée au XIVe siècle avec le développement du port de Marseille et des foires de Lyon. Des ornières laissées par le passage des roues de chars sont encore visibles entre Le Thort et La Molette, au nord de Prévenchères, et près de Saint-André-Capcèze.

  • Architecture et Village

    Architecture de pierre

    L'architecture des anciens édifices de Villefort est caractéristique des villages-rues  :
    • les maisons aux doubles porches voûtés étaient autrefois des auberges ou des boutiques de commerçants ou d’artisans : l'un des porches servait à stocker les marchandises, l'autre à les exposer ;
    • les linteaux sculptés surmontant les entrées de certaines maisons de la rue de l'Eglise ou de la rue de la Bourgade témoignent des activités passées de leurs occupants ;
    • des fenêtres à croisées ou à traverses de la Renaissance ornent certaines façades.

  • Agriculture et Elevage

    Châtaignier

    En 1900, la châtaigne est la principale production agricole. Les fruits de « l'arbre à pain » alimentent de nombreuses familles, ainsi que les animaux de la ferme. La castanéiculture occupe toute l’année et plus spécialement au moment de la récolte. Le soir, les cueilleurs se réunissent autour d'une brousillade (châtaignes grillées au feu de bois). Avec le départ d’une partie de la population, beaucoup de châtaigneraies sont abandonnées, d’autres sont abattues pour l’extraction du tanin. Les maladies de l’encre et de l’endothia (ou chancre de l’écorce), provoquées par des champignons, viennent à bout de nombreux arbres. Aujourd’hui, avec la relance amorcée, une « démarche qualité » est en cours pour accompagner les efforts des producteurs de châtaignes des Cévennes.

  • Architecture et Village

    Dans la rue de l'Église

    La mairie est un ancien hôtel particulier du XVe siècle avec son escalier à vis et ses salles voûtées au rez-de-chaussée. Le linteau derrière le portail est le vestige d'une maison fortifiée du village de Bayard, disparu sous les eaux du lac. En face, une fenêtre à croisée ouvragée orne la façade d'une maison du XVIe siècle.
    • La plus ancienne maison du village est inscrite au titre des Monuments historiques et datée du XIVe siècle, avec ses fenêtres gothiques et son système de poulie pour monter le fourrage au grenier.
    • Un accès voûté à une cour intérieure montre des murs bien appareillés faits de gros blocs datant du Moyen Âge…
    • Sur deux linteaux est gravé le monogramme du Christ : IHS, Jesus Hominium Salvator (Jésus sauveur des hommes). L'un des deux est suivi de l'inscription Ave Maria.

  • Histoire et Culture

    Organisation du village

    Situé à 605 m d'altitude, le village s'est développé le long du chemin de Régordane en une rue unique, constituée par les actuelles rues de l'Eglise et de la Bourgade. Au XIXe siècle, le village est traversé par une route nationale qui forme l'actuelle avenue des Cévennes, devenue l'artère principale de Villefort.

  • Histoire et Culture

    Ligne de train Paris Marseille

    À partir de 1865, la compagnie P.L.M (Paris-Lyon-Marseille) met en place la ligne qu'emprunte aujourd’hui le train Le Cévenol reliant Paris à Marseille, via Clermont-Ferrand, Alès et Nîmes. Facteur de désenclavement, elle est un atout pour les villes lozériennes situées sur son passage. De nouveaux métiers apparaissent : employé de la P.L.M (pendant la construction de la ligne),  expéditeur de produits locaux ( par exemple, le marron de la vallée de la Borne). Mais la disparition des convois muletiers porte un coup à l’activité économique, notamment aux artisans et aux aubergistes.

  • Histoire et Culture

    Place de l'Ormeau

    Ancienne place du marché de Villefort, la place de l'Ormeau accueillait le marché du Clédou tous les jeudis matin jusque dans les années 1980. Il foisonnait d'odeurs et de couleurs. On y vendait, notamment au XIXe siècle, bétail, viande, légumes, graines et châtaignes. Le tilleul de la place de l'Ormeau a été planté le 11 novembre 1920 comme « arbre de la victoire », pour que les générations suivantes se souviennent de la lutte pour la liberté menée par leurs ancêtres durant la Première Guerre mondiale. La maison Chambon, avec son portail en double arche, porte sur son linteau l'inscription Metre Iehan Martin 1595 encadrée d'un losange et d'un cœur.

  • Agriculture et Elevage

    Essor du tourisme

    Situé à un kilomètre au nord du bourg, le barrage de Villefort est mis en eau le 14 juillet 1964. Sa construction ouvre une alternative à l’agriculture. Les activités touristiques se développent : pêche, baignade ou sports nautiques. Le tourisme est également basé sur la richesse du patrimoine naturel du canton avec de nombreux itinéraires de randonnée, le canyoning dans les gorges du Chassezac, ou le ski dans les stations du mont Lozère...

  • Histoire et Culture

    Des temps troublés

    Villefort a connu les guerres de religion aux XVIe et XVIIe siècles. En 1629, Henri de Rohan fait assiéger la ville. La rue de la Bourgade est incendiée par les Huguenots. Au XVIIe siècle, le bourg est ceint de murailles, qui sont démolies entre 1808 et 1813. Pendant la période révolutionnaire, des blasons rappelant l'Ancien Régime sont martelés, témoignage de la haine envers les seigneurs. Une croix sur la place du Portalet rappelle l’exécution en 1794 d’un prêtre réfractaire de Saint-Frézal-d'Albuges. La Première Guerre mondiale fait de nombreux morts. Pendant la seconde, Villefort est occupé par les Allemands. Cependant, un mouvement de résistance se crée sur le territoire où de nombreux maquis se développent.

  • Histoire et Culture

    Commerçants et artisans

    L'artisanat apparaît dès le Moyen Âge. À la fin du XVIIIe siècle débute l’exploitation du minerai de plomb, permettant aux agriculteurs de trouver une autre source de revenus. Une fonderie est construite en amont du village. Un siècle plus tard, l'attrait industriel et urbain entraîne l'exode rural et la baisse des activités artisanales et commerciales.

  • Villefort, rue de la Bourgade, maison de forgeron, enseigne sculptée
    Villefort, rue de la Bourgade, maison de forgeron, enseigne sculptée - © Guy Grégoire
    Architecture et Village

    Rue de la Bourgade

    À l'entrée sud de la rue de la Bourgade se trouve la maison natale d'Odilon Barrot (1791-1873), éminent avocat au parlement de Toulouse puis à la cour de cassation, député, président du conseil des ministres… Une plaque a été apposée sur sa façade en 1991. Dans cette rue, on peut également observer deux linteaux datés de 1617 et 1620, et un troisième, sculpté, sur l'une des maisons vers l’avenue de la Gare, indiquant l'atelier d'un forgeron.

  • Boisement sous le Pic Cassini
    Boisement sous le Pic Cassini - otcevennesmontlozere
    Faune et Flore

    La Hêtraie Sapinière

    Il s'agit d'une forêt de protection et de production. Le sapin pectiné est un bois d’œuvre ; le hêtre aussi appelé fayard sert de bois de chauffage. Mais ces arbres servent avant tout à maintenir les sols, freiner le vent, et arrêter la neige en altitude. Les conditions météorologiques extrêmes de ce milieu montagnard (brouillards, orages violents, chutes de neige importantes, sécheresses) rendent le développement de la forêt aléatoire... Les vieux hêtres ont été coupés ; seuls ont été conservés les jeunes qui croissent en hauteur et assurent la régénération de la hêtraie. Le pin à crochets, planté il y a plus de 80 ans, est une essence montagnarde frugale s'accommodant des sols pauvres. 

  • Paysage
    Paysage - © Brigitte Mathieu
    Faune et Flore

    Pelouse subalpine

    Comme dans un jardin ou sur un terrain de sport, les pelouses sont travaillées par l’homme. Le pâturage et le feu  sont ici les outils de leur entretien. L’essentiel des plantes qui la constituent sont des cousines du blé et des graminées vivaces : le nard, les fétuques. Coupez (broutez) une de leurs tiges, il s’en forme bientôt cinq autres ; piétinez- les, elles se multiplient, elles deviennent très denses. Toutes ces «tortures» offrent les conditions d’un couvert végétal serré, garant de la stabilité d’un sol pauvre, pourtant noir, issu de l’altération du granite omniprésent. Voilà donc quelques clés pour une gestion adaptée de ce milieu fragilisé en cas d’abandon.

  • Dectique verrucivore (Decticus verrucivorus)
    Dectique verrucivore (Decticus verrucivorus) - © Bruno Descaves
    Faune et Flore

    Petit peuple de l'herbe

    Ébauchée dès le printemps, l’explosion démographique animale s’observe dans le courant de l’été. Plus tôt, les milliers de petites bêtes n’ont pas encore terminé leurs métamorphoses. Il est alors malaisé de reconnaître, lors des différents stades larvaires, telle ou telle espèce. La pelouse d’altitude attire une petite faune montagnarde spécifique, qui se raréfie un peu partout en Europe. C’est le cas du criquet jacasseur qui anime inlassablement les pâturages de ses concerts estivaux. Les criquets ne consomment que des végétaux, alors que les sauterelles, comme le dectique verrucivore, sont plutôt carnivores. De nombreuses espèces de papillons visitent aussi les fleurs.

  • Faune et Flore

    Plantes rases et arbrisseaux

    Une grande quantité de lumière favorise l’apparition, parmi les graminées, de nombreuses autres herbes rases, presque toutes vivaces, appartenant à d’autres familles botaniques. Elles forment un véritable fouillis végétal. Parmi les belles fleurs alpines, la pulsatille printanière, les gentianes bleues naines en été… D’autres végétaux, de taille plus modeste, sont fort capables de «miter» une pelouse moins pâturée qu’autrefois. Les réseaux d’herbes, perdant de leur densité, offrent des points de fragilité que des arbrisseaux exploitent pour s’y développer au cœur de la pelouse : les myrtilles, associées ici aux airelles rouges et à la callune vulgaire (une bruyère).

  • Circaète Jean le Blanc
    Circaète Jean le Blanc - © Jean-Pierre Malafosse
    Faune et Flore

    Oiseaux

    Les vertébrés profitent des plantes ou des petites proies : c'est notamment le cas du lièvre ou encore du lézard vivipare, à la queue épaisse, qui est convoité par l’aigle chasseur de reptiles, le circaète Jean-le-Blanc. Chez les rapaces, on peut apercevoir les silhouettes caractéristiques des busards cendré et Saint-Martin qui volent au ras du sol. Parmi la foule des petits passereaux, se trouvent le traquet motteux, visiteur d’été installé sur une pierre, ou plus rare, et la perdrix grise. Cet endroit est aussi propice pour entendre le chant des alouettes.

  • Les montjoies
    Les montjoies - Nathalie Thomas
    Histoire et Culture

    Les montjoies

    Ces "petits menhirs" appelés montjoies qui jalonnent le chemin ne se sont pas plantés tout seuls.... D'accord, mais c’était il y a si longtemps que personne ne se souvient de leur origine. Qu'importe ! Ce bornage nous plonge dans un conte de géant aux prises avec la tourmente de neige et la brume. Prenez-vous un instant pour Gargantua qui aurait lu "le petit Poucet" . N'auriez- vous pas eu l'idée de planter quelques cailloux pointus de 2,50 m de haut pour retrouver votre chemin du retour ?
  • Le moulin de Malavieille
    Le moulin de Malavieille - Nathalie Thomas
    Histoire et Culture

    Moulin de Malavieille

    Ce moulin à axe vertical est composé d’une roue hydraulique horizontale, calée directement sur l ‘axe de la meule, horizontale aussi. L’eau arrive sur la roue, le coupo (cuillère, en occitan) par le canélou (canon, en occitan canelon). L’axe vertical transmet le mouvement et fait tourner la meule supérieure, dite volante, supportée par l’anille (la meule inférieure restant fixe). Le grain descend par la trémie dans le traquet ou auget. La force centrifuge conduit le grain du centre vers l’extérieur ; il est « écrasé » progressivement et la farine et le son sont expulsés dans le coffre du moulin.
  • Neyrac
    Neyrac - nathalie.thomas
    Histoire et Culture

    Les coubles

    Vous êtes à la croisée des chemins dont l'un est l'ancien chemin de Mende à Villefort, détaché de la route des Arvènes (la Régordane) au niveau de la Maloutière (sortie de Villefort). Combien de coubles, convois d'au moins 6 mulets bâtés, répandant le son de leurs grelots, sont passés par ici pendant des siècles ! Les muletiers, qui passaient en caravanes, animaient le village et donnaient à Cubières un air de prospérité. La rue du village, alors très marchande, alignait ses auberges et ses échoppes.

  • Pie-grièche écorcheur
    Pie-grièche écorcheur - Régis Descamps
    Faune et Flore

    Les passereaux

    Les milieux ouverts, composés de quelques arbres et de buissons, sont favorables aux passereaux. Cet ordre est le plus vaste et le plus varié de la classe des oiseaux et regroupe plus de la moitié des espèces d’oiseaux. La pie-grièche écorcheur affectionne particulièrement ce type de milieux, riches en gros insectes qui constituent sa principale source de nourriture. Cet oiseau est une espèce migratrice stricte et hiverne dans l’est africain.
  • Le Rieutord
    Le Rieutord - © Nathalie Thomas
    Eau et Géologie

    Le Rieutord

    Ici coule le ruisseau du Rieutord qui rejoint l'Altier, affluent du Chassezac. Les géologues amateurs comprendront qu'ils se trouvent ici sur une limite entre la poche calcaire à droite , le schiste à gauche et le granite au sommet. Trois roches qui conditionnent le paysage et son couvert végétal. Le calcaire est un souvenir maritime jurassique. Le schiste, formé à chaud dans une profondeur terrestre considérable, fut soulevé jusqu'en surface par des séismes du quaternaire. Le granite, ce magma monté de plus bas encore, s'est frayé un chemin dans le schiste pour se hisser à la surface du mont Lozère.
  • Cubières depuis le Causse
    Cubières depuis le Causse - nathalie.thomas
    Histoire et Culture

    Cubières

    Village aux origines lointaines qui tire son nom (cubereis) du minéral de cuivre que les Gallo-Romains exploitaient ici. Au moyen âge, sous la protection des seigneurs, les villageois étaient tenus de moudre la farine au moulin puis de cuire le pain dans le four banal, four à usage collectif, propriété dudit seigneur du Tournel. Moyennant quoi, une taxe appelée le « ban » lui était versée. Ce droit féodal fut aboli à la Révolution mais l'adjectif « banal » est resté, le four aussi, devenu alors le four du village, tout simplement.
  • Histoire et Culture

    Édifices religieux et pèlerinages

    La rue de Rome mène jusqu'à la chapelle Saint-Jean ou Gleisetto (petite église). Cette ancienne chapelle romane, devenue lieu d'habitation, accueillait à l’époque médiévale les pèlerins malades ou en quête d’un toit pour la nuit. Une léproserie y était annexée. Plus au nord, la chapelle Saint-Loup-et-Saint-Roch domine le lac. Restaurée à plusieurs reprises, elle a été construite à l’identique d'un édifice roman du XIIe ou XIIIe siècle, au lieu même de refuge d’un ermite qui avait suivi l’exemple de Saint-Loup. Celui-ci est le saint protecteur de la région et Saint-Roch lui est associé depuis la peste de 1720. Deux pèlerinages existent encore : le 29 juillet pour la Saint-Loup et le 16 août pour la Saint-Roch.

  • Lavoir de Villefort
    Lavoir de Villefort - OT Mont Lozère
    Histoire et Culture

    Lavoir

    Datant du XIXe siècle, ce lavoir en granite comporte deux bassins. Le linge était battu dans le grand bassin à l'aide d'un tapoir, puis rincé dans l'eau pure du petit bassin, alimenté par la rivière. On remarque encore aujourd'hui les traces noires de suie laissées par les feux des fourneaux qui permettaient de faire bouillir l'eau. Ce lieu plein de vie où résonnaient les plaintes et les joies des lavandières a été fréquenté jusqu'aux années 1950.

  • Eau et Géologie

    Réseau hydrographique

    Venant du mont Lozère, la rivière de la Palhères traverse Villefort. Elle passe sous l'une des doubles arches gothiques inégales du pont Saint-Jean. Ce pont au profil en dos d'âne date du XIVe siècle. Deux ruisseaux coulent au centre du village, à l'emplacement de la place du Bosquet. Leur utilisation comme égout ou latrines les rendant insalubres, ils ont été voûtés par mesure d'hygiène pour créer l'actuelle place du Bosquet et la rue des Jardins. Les travaux ont pris fin en 1934.

  • Histoire et Culture

    Foires de Villefort

    Depuis 1511, le marché de Villefort se tient le jeudi matin. Au début du XIXe siècle, jusqu'à quatorze foires s’y succèdent dans l'année. Pour être autorisés à s’y rendre, les enfants doivent aller à la messe à la chapelle Saint-Loup-et-Saint-Roch. La grande réputation de ces foires attire une foule importante. Celle du 14 septembre est l'une des plus impressionnantes, les nombreux bovins encombrant de toute leur masse les places et les rues du village. Villefort est aujourd'hui également animé par ses brocantes et ses marchés artisanaux.


Profil altimétrique


Recommandations

• Vérifier la météo.
• Choisir le parcours en fonction de votre pratique et de votre équipement.
• Prévenir un proche de votre itinéraire.
• Prévoir une réserve d’eau et de nourriture adaptée à vos besoins et au parcours choisi.
• Penser à un kit de 1 ère urgence pour vous et à un kit réparation pour votre vélo.
• Porter un casque.
• Respecter le code de la route.

Lieux de renseignement

Office de tourisme Mont-Lozère, Villefort

43, Place du Bosquet, 48800 Villefort

https://www.destination-montlozere.fr/contact@destination-montlozere.fr04 66 46 87 30

Les relais d'information sont des offices de tourisme partenaires du Parc national des Cévennes, qui ont pour mission l'information et la sensibilisation sur l'offre de découverte et d'animation ainsi que les règles à adopter en cœur de Parc. Ouvert toute l'année

En savoir plus

Transport

Cette randonnée est accessible en transports en commun.

Pour consulter les horaires actualisés et planifier votre trajet, utilisez le calculateur d'itinéraires ci-dessous en renseignant l'arrêt d'arrivée : VILLEFORT - Centre ou Villefort (Gare)

Accès routiers et parkings

Depuis Génolhac, par la D 906 (20 mn)
Depuis Prévenchères, par la D 906 (15 mn)
Depuis Les Vans, par la D 901 (35 mn)
Depuis Mende, par la D 901 (60 mn)

Stationnement :

Parking à l'entrée nord du village

Source

Conseil Départemental de La Lozère
Parc national des Cévenneshttp://www.cevennes-parcnational.fr/
Pôle pleine nature Mont Lozère